ST-MAIXENT – La presse parle de nous

Saint-Maixent-l’Ecole : Le Souvenir français missionne les cadets de la défense

Article paru dans la Nouvelle République le 1er juillet 2023


Saint-Maixent-l’Ecole : « À nous le souvenir, à eux l’immortalité »

Article paru dans la Nouvelle République le 07 novembre 2022


Saint-Maixent-l’Ecole : la tombe du général Faucher fleurie

Article paru dans la Nouvelle République le 11 novembre 2021


La Nouvelle République _ 21 novembre 2021 – Le Congrès départemental


Le Souvenir français rend hommage aux combattants

Article paru dans la Nouvelle République le 05 novembre 2021

Le Souvenir français, sous l’égide du président Jean-Claude Riera, au cimetière ancien, le 1er novembre, a rendu « hommage aux combattants » et mis en avant « tous ceux qui ont accompli leurs devoirs et qui ont souffert » en rappelant que l’association s’occupe de quatorze monuments aux morts en Deux-Sèvres. En présence de délégations d’anciens combattants et porte-drapeaux, du délégué départemental Guy Rochet, de Jean-Luc Drapeau, député suppléant, il a évoqué le rôle du Souvenir français qui veille à l’entretien des tombes des combattants morts. Vingt cadets de la Défense et de jeunes sapeurs-pompiers étaient présents à cette cérémonie.
Une gerbe a été déposée par le maire Stéphane Baudry et le lieutenant-colonel François Verdru représentant le général Chatelus, commandant l’Ensoa. Une autre gerbe a été déposée par le général Guy Rochet, délégué départemental du Souvenir français en Deux Sèvres et Stéphanie Savary, représentant l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre (Onac-VG).


Remise de l’épinglette du Souvenir français aux cadets de la défense

Article paru dans la Nouvelle République le 02 juillet 2021

Après avoir honoré les personnes décédées au service de la France en fleurissant les tombes du Carré militaire de la ville mercredi dernier, la 13e promotion des cadets de la défense a reçu l’épinglette du Souvenir français au quartier Marchand par les membres du comité de Saint-Maixent-l’École.
Les cadets de la défense sont de jeunes collégiens en classe de 4e ou de 3e, issus de différents collèges, volontaires pour participer à une formation au sein de l’Ensoa (École nationale des sous-officiers d’active), le mercredi après-midi, d’octobre à juin. Leur formation se terminera la semaine prochaine par un stage bloqué marquant la fin de leur formation et la fin de l’année scolaire. Cette formation a pour but, entre autres, de développer leur cohésion et leur esprit d’équipe, d’affirmer leur personnalité, de mieux comprendre les valeurs républicaines de notre pays, de respecter l’environnement (avec la plantation d’un arbre par promotion) et de pratiquer des séances sportives. Ils ont également effectué un voyage sur un lieu mémoriel qui cette année a été la visite du village martyr d’Oradour-sur-Glane
Au cours de ces mois, le Souvenir français, par l’intermédiaire des membres du comité de Saint-Maixent-l’École, leur fait connaître et appliquer ses trois missions fondamentales de l’association : honorer les personnes décédées au service de la France, participer à la vie commémorative, transmettre la flamme du devoir de mémoire.


Remise de l’épinglette du Souvenir Français aux cadets de la Défense

Article paru dans le Courrier de l’Ouest le 06 juillet 2021

Après avoir honoré les personnes décédées au service de la France, en fleurissant les tombes du Carré militaire de la ville, mercredi 23 juin, la 13e promotion des cadets de la Défense s’est vue remettre l’épinglette du Souvenir Français par les membres du comité du Souvenir Français de Saint-Maixent- l’École.

« Les cadets de la Défense sont de jeunes collégiens en classe de 4e ou de 3e, issus de différents collèges, volontaires pour participer à une formation au sein de l’ENSOA (École Nationale des Sous-Officiers d’Active), le mercredi après-midi, d’octobre à juin. Leur formation qui se termine par un stage, a pour but, de développer leur cohésion et leur esprit d’équipe, d’affirmer leur personnalité, de mieux comprendre les valeurs républicaines de notre pays, de respecter l’environnement (avec la plantation d’un arbre par promotion) et de pratiquer des séances sportives », explique Guy Rochet délégué général de l’association pour les Deux-Sèvres.


Le Souvenir français restaure les tombes des soldats

Article paru dans la Nouvelle République le 03 novembre 2020

Dans la ville de Saint-Maixent-l’École, où sont installés de nombreux anciens combattants, toutes les commémorations sont très suivies. Initiée par le Souvenir français que préside Jean-Claude Riera, la cérémonie du souvenir du 1er novembre a eu lieu au cimetière ancien avec seulement un porte-drapeau, le maire Stéphane Baudry, le représentant du général commandant l’Ensoa, le capitaine Stéphane, et Jean-Luc Drapeau représentant la Députée Delphine Batho. Jean-Claude Riera a indiqué : « Nous sommes bien dans un moment exceptionnel pour célébrer cette commémoration ».
« Notre association a fait de la Toussaint un moment fort de la mobilisation des Français autour de l’entretien des tombes des Morts pour la France. Même pendant la Grande Guerre, l’ensemble des comités du Souvenir français quêtait aussi aux portes des cimetières. Au début du XXe siècle, le Souvenir français a imposé que le 31 octobre et le 1er novembre soient consacrés à rendre hommage aux combattants morts pour la liberté et la démocratie. En 1919, le législateur a donné une base légale à la commémoration de ces deux journées avec la quête à la sortie des cimetières qui sert à l’entretien des tombes de ceux qui sont morts pour la France. »
Le président, Jean-Claude Riera, a précisé que, cette année, « un effort particulier a été porté à la sauvegarde et à la restauration des tombes des Morts pour la France ». Et de ponctuer : « J’ai une pensée pour l’instituteur M. Chantecaille, mort au combat dont la tombe se trouve à quelques mètres de ce carré militaire. Il faut, et c’est notre mission, empêcher la deuxième mort du soldat. Celle-ci peut survenir par dispersion ou l’extinction familiale mais aussi par le manque de respect de la mémoire nationale. C’est un combat de tous les jours et c’est pour cela que les comités se mobilisent car supprimer une tombe de Mort pour la France, c’est interdire demain de faire de cette tombe une “ station de mémoire ” que chaque commune pourrait créer ».


Un effort particulier pour la rénovation des tombes

Article La Nouvelle République – 04 novembre 2019


Hommage à Raymond Chantecaille combattant oublié

Article La Nouvelle République – 19 septembre 2019


L’aide du Souvenir Français

Article La Nouvelle République – 26 juin 2019


Francis Simon et le soldat inconnu

Article La Nouvelle République – 03 novembre 2018


Les associations favorisent le devoir de mémoire

Article La Nouvelle République – 09 juin 2018

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